3/4 de tour de Corse en cyclo pas très ancien

[BruNau]

Je n’ai pas trouvé de sujet sur les voyages alors je poste ici, charge aux admins de transférer là où il faut si besoin.

J’avais promis un petit topo lors de ma présentation et je me rends compte que je n’ai pas tenu ma promesse.

C’était donc en 2016, pendant les vacances de printemps en avril.
Cyclos concernés : 2 MBK + remorques, un Magnum et un Passion.
Les collègues m’ayant offert un bon d’achat chez Leclerc Voyage, j’ai demandé à ce que me soit organisé des étapes, sachant que mon épouse et moi disposions chacun d’un cyclo, qu’on voulait loger en hôtel ou en gîte et qu’il ne fallait pas que les étapes dépassent 100/120 km par jour.

Le challenge a été réussi hormis pour la traversée en Ferry qui nous avait été facturée comme pour une auto. Surprenant ! La guichetière nous a remboursé la différence !!

Bref ! Nous avons débarqué à Porto Vecchio et rembarqué à l’Ile Rousse.
2 jours étaient prévus à Porto Vecchio et heureusement !
La préparation des pétrolettes avait consisté à les équiper d’un système d’attache pour remorques mono-roue de vélo et à vérifier la pression des pneus.
La pression des pneus ne devait pas être bonne car la chambre de la roue arrière du Magnum a éclaté aussitôt débarqué du Ferry.
Grosse galère pour la réparation, le mécano de chez Harley ayant réussi à nous péter le pneu qu’il a fallu que nous remplacions par un neuf, trouvé de justesse chez le marchand de scotères qui nous avait déjà préalablement vendu une chambre à air.
La réparation effectuée, nous sommes allés nous requinquer sur une plage. En fermant le robinet d’essence, celui-ci me reste dans les mains. Re-galère !

Evidemment, confiant dans la fiabilité de nos péteuses, je n’avais quasiment aucun outil avec nous et aucune pièce de rechange, pas même une courroie. Ben quoi ? On n’avait même pas 1000 km à faire, ça devait passer crème !.

Le deuxième jour a donc été consacré à la réparation de ce pu… de robinet avec les moyens du bord et du voisinage.

Le Magnum nous a fichu la paix pour le reste du séjour.
C’est donc le Passion qui a pris le relais en pétant sa courroie.
Heureusement nous étions alors à Ajaccio et nous pensions trouver ce qu’il faut dans cette superbe capitale.
Tiens ! Fume ! C’était un samedi et tout était fermé : c’est moi qui vous dit qu’on n’est pas prêt de faire bosser les Corses le dimanche !
Un marchand de pièces auto a cependant trouvé dans son stock une courroie de dimension convenable qui a tenu tout le reste du voyage.

Voilà pour les galères.
Tout le reste n’a été que du bonheur.
Le choix du cyclo en Corse, cyclo qui a du coffre, est quasiment le bon choix. Seule une 125 doit pouvoir être plus jouissive. Par 2 fois des groupes de motards ont chié l’os pour nous doubler sur les petites routes ultra sinueuses.
Les remorques, que j’étais bien décidé à balancer dans une déchetterie au premier souci, se sont révélées fort discrètes et nous ont suivi sans jamais broncher. (Je viens de les ressortir pour un nouveau trip qui est dans les tuyaux pour 2024, si tout va bien).

Bien entendu, nos montures ont eu beaucoup de succès auprès des quadras nostalgiques et ont facilité les bavardages avec l’autochtone. Nous sommes même repartis d’un bistrot avec les autocollants de la FFMC 2A2B.

Voilà ! Promesse enfin tenue de narrer rapidement ce voyage de 2016.

[BRANDI]

toujours de bon souvenir malgres les galére...........regarde mes voyage dans evenements bourse............

[BruNau]

toujours de bon souvenir malgres les galére...........regarde mes voyage dans  evenements bourse............

Ah oui ! Intéressant !
Je n’ai encore jamais participé à des randonnées en groupe.
Tout ce que nous faisons jusqu’à présent ce fait incognito et en famille.
Merci pour le lien.

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